jacques famery : l’art est un moyen de connaissance

Les cultures occidentales influencées par le réalisme de l’art grec et marquée par la froideur de la pensée des églises puis des logiques rationalistes, ont été amenées à considérer que l’art avait principalement pour but de reproduire les apparences du réel visible. De plus, à partir de la Renaissance, l’invention de la perspective (qui n’est pas de l’art mais de la géométrie descriptive) a permis de représenter avec encore plus de « vérité » les illusions du réel . C’est pourquoi on en est arrivé à confondre l’effet perspectif réaliste avec l’art. Ces idées restent encore influentes aujourd’hui.

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network thinking et apprentissage social: vers une architecture en réseau

Lorsqu’on me demande “que fais-tu dans la vie?”, après un léger moment d’hésitation je finis toujours par répondre que je suis architecte. Puis, après une deuxième hésitation, je précise que pour autant, je ne fais pas de construction, et j’explique que j’appréhende l’espace et la ville comme phénomènes complexes et pluridisciplinaires. Cette anecdote, au delà de sa dimension comique – “ce type ne sait pas ce qu’il fait” – témoigne aussi d’une évolution significative des métiers de l’architecture et de la création vers un contexte de plus en plus complexe et hybride. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) ont déclenché une véritable révolution culturelle, au point de renverser les notions mêmes de connaissance et de création. Dans mes expériences professionnelles récentes, j’ai été amené à regarder de très près cette transformation.

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que estas haciendo en @paris ?

Pues varias cosas…Hace un par de años la gente no entendía muy bien cual es mi trabajo. Ahora, además, no se entiende muy bien donde estoy viviendo. Así que me parece importante, por hygiene mental (como diría Alfonso), dejarlo claro: estoy viviendo sobre todo en París, en Madrid y en Italia. Es importante añadir que, utilizando la terminologia #knowmads, mi campo base se encuentra actualmente en París, es decir que es aquí donde paso la mayoría de mi tiempo y donde me considero más estable. Sin embargo no me encuentro completamente a gusto diciendo que vivo aquí porque esa expresion excluye que pueda, al mismo tiempo, vivir en otras ciudades. Ah, para quien se este preguntado: sí, tengo un sitio para estar en Madrid, uno en París y uno en Italia. Por cierto, lo de Madrid es super interesante: es una experiencia de networked housing llamada LAGUNA. Ya os contaré más dentro de poco, de momento solo he adelantado lo de QUARTO.

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cento grammi di farina e un uovo

100 grammes de farine et 1 oeuf par personne. La preparation des raviolis de Massimo (CTRLZ Architectures) commence. Sur la dose des ingredients de base Valentina est d’accord, mais pour le reste des détails (comment travailler la pâte, choisir la sauce qui les accompagnera, combien il faut laisser reposer…) ils se disputent sur tout.

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slowbusiness workshop – il tempo vuoto è la nuova pagina bianca

Qualche tempo fa ho annunciato in questo discussissimo post che avrei smesso di lavorare o quasi. L’espressione “smettere di lavorare” è volutamente inesatta e tale inesattezza, oltre ad aver creato qualche giustificata incomprensione (potete leggere questo interessante thread di commenti su facebook), è stata utile per scatenare un dibattito che, con mia sorpresa, ha dimostrato che l’argomento è molto sensibile (le visite del mio poco visitato blog si sono letteralmente impennate). Sono impegnato da mesi in questa ricerca sull’equilibrio professionale e vitale, e ho già spiegato come per me smettere di lavorare sia, in un certo senso, un modo per fare meglio il mio lavoro, o comunque un modo per esercitare il mio impegno etico rispetto al mondo. Cerco di ri-spiegarlo.

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