Formation Grasshopper / Atelier d’Architecture Paramétrique / #gh3D #Paris Septembre 2010

Depuis quelques mois, avec HDA , nous organisons des Ateliers de Formation d’Architecture Parametrique et Grasshopper à Paris, en collaboration avec Rhinoforyou.
Cet article est une copie de celui publié sur complexitys.

Comme nous avions déjà annoncé en Mai, et comme il est annoncé sur le site de Rhinoceros, HDA démarre une nouvelle activité en collaboration avec Rhinoforyou, et organise des formations Grasshopper intégrant un Atelier pratique d’Architecture Parametrique.
Un de ces cours de formation est prévu à Paris du 20 au 22 septembre. Nous souhaitons proposer les 3 formules suivantes en fonction des besoins des stagiaires:

– 3 jours ( Initiation+Atelier ) : du lundi 20 septembre au mercredi 22 septembre
– 2 jours ( Initiation ) : lundi 20 et mardi 21 septembre
– 1 jour ( Atelier ) : mercredi 22 septembre

Les 2 premières journées sont consacrées aux « fondamentaux » de Grasshopper avec en préambule une introduction au design et à l’architecture paramétrique et leurs impacts dans la conception, la création et la construction. La troisième journée sous forme d’atelier est dédiée à l’étude de cas concrets proposés par les stagiaires, qui, quelques jours avant la formation, pourront envoyer leurs projets par mail à info@rhinoforyou.com.

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Pour voir le programme ou pour plus d’information, consulter le PDF ci-dessous:

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Inscriptions et renseignements: Jacques Hababou, info@rhinoforyou.com.
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Pour en savoir plus sur l’architecture paramétrique, vous pouvez consulter les supports de présentation de notre dernière conférence “Vers une Architecture Paramètrique” à l’Ecole d’Architecture de Paris La Villette.

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L’image ci-dessus est du projet Pylons of the Future – Dancing with Nature – de HDA | Hugh Dutton begin_of_the_skype_highlighting end_of_the_skype_highlighting Associés. La conception et la réalisation du projet sont développés avec Grasshopper et d’autre logiciel de dessin et calcul de structure paramétriques.

Vous pouvez voir l’image à taille réelle sur Flickr.

Architecture Sensorielle, Agricoltura Urbana, Sogno e Filosofia

A Milano, alla conferenza Urban Hybridization ho conosciuto Emanuele Bobbio, un giovane architetto torinese che si occupa di Agricoltura Urbana, un argomento molto interessante e al quale ho lavorato ultimamente nei progetti di CTRLZ Architectures.

Come dicevo qui ho anche fatto l’interessante conoscenza di Lorenzo Giacomini, filosofo interessato all’architettura.

Approfitto allora per condividere qui, con loro, la mia tesi di laurea, che trattava temi di architettura sensoriale, il rapporto fra architettura e vegetazione, e una ricerca sulla metodologia del sogno applicata all’architettura.

Ecco il libro in PDF scaricabile qui:

E questo sono le 7 tavole di progetto:

E infine la presentazione PP:

sensoriale

Ibridazione, Ibridità, Ibridi…

Nei giorni 15 e 16 Aprile ho partecipato alla conferenza Urban Hybridization al Politecnico di Milano, organizzata dal prof. Fabrizio Zanni.

Una serie di interventi di circa 30 minuti l’uno, di origine multidisciplinare (architettura, sociología, arte, filosofia) hanno animato un dibattito sulla nozione di ibrido e sui processi di ibridazione, in particolare riferimento alle questioni urbane come lo sprawl, la struttura urbana diffusa e lo spazio pubblico ibrido.
Io ho avuto modo di presentare l’articolo Urban Aperture(s) che ho elaborato con il collettivo #thinkark.

Nella mia presentazione, centrata sullo studio dei cambiamenti percettivi e strutturali causati dalle tecnologie della comunicazione, ho suggerita l’idea che l’ibridazione non sarebbe, forse, un fenómeno da limitare all’ambito architettonico, ma piuttosto una struttura cognitiva che sembra particularmente adatta a descrivere i processi culturali, sociologici e percettivi del mondo contemporáneo.

Alla chiusura del convegno, l’intervento del filosofo Lorenzo Giacomini ha descritto benissimo quelli che per me erano ancora soltanto dei concetti vaghi. Alla fine di un discorso pieno di riferimenti interessanti, Lorenzo ha parlato dell’ibridazione come qualcosa di più di un semplice principio estético. L’ibridazione sembrerebbe avere un carattere chiaramente ontológico, una categoría particularmente adatta alla percezione e alla comprensione del mondo contemporáneo.

L’incontro di due giorni si è concluso con una tavola rotonda, durante la quale il prof. Fabrizio Zanni ha espresso la volontà, condivisa dalla maggior parte dei presenti, di dare un seguito all’evento.

Fare una pubblicazione, creare un blog partecipativo, insomma costruire una sorta di grupo di ricerca e monitoraggio sul tema dell’ibridazione (urbana e non).
Oltre a questo, il prof. Zanni ha già proposto un CALL FOR IDEAS (un concorso aperto) per riflettere al progetto ibrido e quindi applicare le riflessioni fatte a un caso pratico.

La mia esperienza mi dice che se il lavoro viene fatto bene, si potrebbe fácilmente creare un punto di riferimento a avanguardia nel campo dell’architettura ibrida.
La mia proposta sarebbe quella di alternare una constante virtuale (tramite internet, blog, twitter) ad eventi presenziali (ad esempio a Milano).
Si potrebbe pensare al blog multiautore come il fulcro o la base di questo centro di ricerche sull’ibrido e poi, magari ogni anno, organizzare un evento in cui ci sia un incontro físico. Il blog e le operazioni su Internet sono abastanza facili e immediate: quello che serve per farle funzionare sono intelligenza costanza. Senza questi due requisiti, le informazioni si aggiungono alla massa informe di dati non visibili.

Suggerirei al prof. Zanni di trovare qualcuno che sia bravo con i blog e la web-communication (magari uno studende?) e assumerlo per qualche ora alla settimana per garantire un servizio che funzioni.
Il blog convoglierebbe in un solo raccoglitore i vari interventi dei presentatori ma anche una ricerca sistematica sui temi trattati in altri ambiti, esterni alla conferenza ed esterni al nostro gruppo, visto che l’ibrido sta diventato una nozione sempre più utilizzata e ricca di spunti.

Naturalmente io e il collettivo #thinkark potremmo aiutarlo in queste operazioni. Personalmente, ho già creato il twitter Urban Hybridizations…manca solo farlo partire…

lucciola

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Il existe un rêve d’architecte où l’architecture va au-delà de la construction matérielle…Ce rêve est fondé sur la naïveté de l’enfant qui se révèle de suite être sagesse, lorsqu’il nous dit que nous ne pouvons pas faire plus beau qu’un champ d’herbe sous le soleil, dans le silence de la nature…A une époque ou la crise économique, sociale et écologique nous impose une révision importante de notre façon de se mettre en relation avec le monde, cette pensée innocente cesse de n’être que de l’ingénuité et devient au contraire un espoir pour une action intelligente et raisonnable. De plus, la demande d’intervenir dans un domaine situé entre l’architecture et le paysage est particulièrement inspiratrice pour la formulation de cette nouvelle relation entre l’action de l’homme et la nature.C’est sur la base de ces réflexions simples et humbles que nous proposons pour Lezigno un champ éclairé par des lucioles et des lampyres. Ces petits coléoptères fragiles et en voie extinction sont le symbole même de la beauté et de la poésie sans compromis de la nature.
Notre proposition consiste en une petite intervention, légère et délicate, ayant le but éphémère d’inviter des milliers de ces insectes à ré-habiter ce champ. Une colonie de lucioles, rassemblée et cultivée par des scientifiques qui suivront l’évolution des insectes tout à long de l’expérience. Des tiges colorés en matériau composite formeront un support léger et flexible pour un réseau de câbles de fibre optique, qui emmétreront pendant la nuit des faibles lumières intermittentes similaires à celle des lucioles, afin d’attirer le regard, mais aussi de créer une symbiose recherchée entre l’élément naturel et la technologie.
Ces tiges seront le seul signale visible pendant le jour, et indiqueront vaguement la présence d’un événement, une intervention presque imperceptible, une sorte d’acupuncture dans le paysage. Comme des fils d’herbes rouges, ces structures fines seront la prolongation vers la ciel du champ de coquelicot qui colorent l’herbe. La magie des lucioles sera accompagnée par celle du monde végétale avec la plantation de ces fleurs : des simples graines, la plus petite partie d’un organisme vivant, une cellule qui détient en puissance tout le patrimoine génétique des ancêtres de son espèce.

Dans un contexte culturel ou l’architecture est souvent réduite à un fait de spectacle, le projet LUCCIOLA – le nom vient du mot italien indiquant ces petits insectes – assume le pari courageux d’un changement de vision radicale, une non–construction déduite de la nécessité de revoir le rapport que nous entretenons avec la planète, et qui implique une rééquilibration des forces en jeu dans ce rapport.

LUCCIOLA sera alors la création d’un événement qui se fait e se défait tout seul, naturellement, qui ne va durer que le temps dédié à la performance, le temps d’une saison, nécessitant très peu d’intervention externe et dont le total épanouissement ne relève que de ce climat désormais déréglé. Directement responsables de cela, nous sommes invités à regarder les lucioles et les coquelicots en tant que simple spectateurs quasi impuissants, un spectacle pour le réapprentissage des forces de la nature.

Il existe alors une architecture qui ne trahit pas les désirs d’enfant , celle-ci est l’architecture des rêves…

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